Je suis content de partir
De quitter sans sévir
Mais j’ai un point au cœur
Pourquoi cette sensation, ce n’est pas l’heure ?
Il y a la joie de partir
Mais aussi la peine de partir
Ah au revoir maudites piqûres
Mais triste que face à ce paysage s’érige un mur
Il y avait en effet aussi du bon dans cette situation
Des beautés et plaisirs que l’on devra délaisser
Ils étaient en compagnie d’un temps qui a fait sa révolution
Je dois maintenant rencontrer ce qui m’est bien plus adapté
Dire au revoir aux piqûres ça va ce n’est pas trop dur
Mais dire au revoir au bon un peu plus
On a du mal à lâcher les bonus
Mais ne peuvent entrer deux paysages dans la même voilure
L’un est connu, bon et tracassant
L’autre est inconnu, aux allures bonnes et non cassant
Suis-je prêt à sauter sur une île plus adaptée ?
De toute façon l’ancienne est en train de couler
Oui je dois bien y aller
Mais pas sans un au revoir à l’ancienne
Au risque d’y rester encore accroché
Ce qui pourrait m’empêcher de rejoindre la nouvellement mienne.
Partir, 13/04/22
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